Marie « est descendue ici-bas, notre Vie, la vraie Vie,
elle s'est chargée de notre mort pour la tuer avec la surabondance de Sa Vie ».
Saint Augustin, Confessiones 10, 12.
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Marie « est descendue ici-bas, notre Vie, la vraie Vie,
elle s'est chargée de notre mort pour la tuer avec la surabondance de Sa Vie ».
Saint Augustin, Confessiones 10, 12.
L'amour conjugal (3)
C'est encore un amour fidèle et exclusif jusqu'à la mort.
C'et bien ainsi, en effet, que le conçoivent l'époux et l'épouse le jour où ils
assument librement et en pleine conscience l'engagement du lien matrimonial.
Fidélité qui peut parfois être difficile, mais qui est toujours possible et toujours noble et méritoire, nul ne peut le nier.
L'exemple de tant d'époux à travers les siècles prouve non seulement
qu'elle est conforme à la nature du mariage, mais encore qu'elle est source de bonheur profond et durable.
Paul VI, encyclique Humanae vitae.
Remplis la charge que tu occupes en toute diligence de corps et d'esprit.
Préoccupes-toi de l'unité, car il n'y a pas mieux qu'elle.
Prends-les tous sur toi comme le Seigneur te porte.
Supporte-les tous avec un esprit de charité, comme tu le fais déjà.
Adonne-toi sans relâche à la prière.
Demande plus d'intelligence que tu n'en possèdes déjà.
Demeure éveillé, avec un esprit qui méconnaît le sommeil.
Parle aux hommes du peuple dans le style de Dieu.
Saint Ignace d'Antioche, Lettre à Polycarpe 1, 2-3.
L'Eucharistie, centre et sommet de la vie chrétienne, réconcilie, purifie, détruit les racines du péché, fait croître la charité, rend plus solide la communauté ecclésiale.
Dans l'Eucharistie, nous devenons ce que nous recevons ; « consanguins » du Christ, frères entre nous.
L'Église ne peut exister sans l'Eucharistie et de même l'Eucharistie sans l'Église.
Jean-Paul II, Message au Congrès eucharistique national du Brésil, 21 juillet 1985.
Chaque geste de révérence (...) que vous faites devant le Saint-Sacrement
est important parce qu'il constitue un acte de foi au Christ, un acte d'amour envers le Christ.
Jean-Paul II, 29 septembre 1979.
Un pauvre religieux, assis dans un compartiment de train, devait écouter en silence
la compétition de blasphèmes à laquelle se livraient deux jeunes gens mal élevés,
quand l'un d'eux dit en plaisantant :
- Mon père, je dois vous donner une mauvaise nouvelle : le diable est mort !
- J'en suis navré ! Mes sincères condoléances !
- Vos condoléances ? Pourquoi ? dirent ensemble les deux jeunes gens.
- Parce que je suis triste pour vous qui êtes restés orphelins.
Albino Luciani, « Lettre à l'Ours de St Romedius », Humblement vôtres, Paris, 1978, p. 146.
L'Eucharistie nous rend Dieu merveilleusement proche.
C'est le sacrement de sa proximité de l'homme. (...)
C'est le sacrement de Dieu qui descend vers l'homme, qui s'approche de tout ce qui est humain.
C'est le sacrement de la divine « condescendance » (cf. st Jean Chrysostome, In Genes. 3, 8).
Jean-Paul II, Audience générale, 13 juin 1980.
La souveraine perfection ne consiste pas évidemment dans les joies intérieures, ni dans les grandes extases, ni dans les visions, ni dans l'esprit de prophétie. Elle consiste à rendre notre volonté tellement conforme à cellle de Dieu que nous embrassions de tout notre cœur ce que nous croyons qu'il veut.
Sainte Thérèse d'Avila, Les Fondations 5.
La Dame du message de Fatima indique le rosaire, qui peut justement se définir « la prière de Marie » : la prière dans laquelle elle se sent particulièrement unie à nous. Elle-même prie avec nous. Par cette prière, on embrasse les problèmes de l'Église, du Siège de Saint-Pierre, les problèmes du monde entier. En outre, on se souvient des pécheurs, pour qu'ils se convertissent et se sauvent, et des âmes du purgatoire.
Jean-Paul II, Homélie à Fatima, 13 mai 1982.
Le progrès de la liberté de l'homme coïncide avec celui de sa divinisation : plus l'âme est unie à Dieu par l'amour, plus elle est libre. C'est le sens le plus profond de la liberté sur lequel revient constamment sainte Thérèse. Être libre, c'est aimer Dieu de toutes ses forces. Et cela est ainsi parce que les traits qui définissent le mieux la liberté - à savoir l'activité, la possession et l'ouverture - se présentent de la manière la plus marquante dans l'amour de Dieu tel que sainte Thérèse nous en parle.
M. I. Alvira, Vision de l'homme selon sainte Thérèse d'Avila. Une philosophie de l'héroïsme, Paris, 1992, p. 395.